Cries in the Dark...
Deux mois de silence..
Remédions à ce problème.
Vendredi soir, j'ai pleuré.
Je regrette le contexte de ces pleurs, mais même dans cette situation, ils ne furent pas les mêmes que d'habitude.
Ce soir-là, nous étions à une soirée.
Pour ceux qui me connaissent, vous savez que je n'ai pas de mal à absorber une grosse quantité de cet ami qu'on appelle alcool. Le temps avance, les relations se font, les discussions commencent.
Voilà qu'au moment où l'effet de l'alcool atteint son paroxysme, nous venons à discuter avec une personne de la soirée qui s'était démarquée du lot.. non pas qu'elle soit forcément intéressante, mais parce qu'elle agissait de sorte qu'elle se fasse remarquer.
Pour ne pas mentir, je ne sais plus comment nous en sommes venus à discuter de ce sujet, mais je me rappelle avoir bien discuté là-dessus.. un peu trop même.
Ce monsieur avait fait une mauvaise blague comprenant le décès d'un membre de sa famille. N'ayant pas du tout aimé, et étant en connaissance de cause de la situation qu'il a évoquée, je me devais d'aller lui en parler.
Nous nous retrouvons donc dehors, entourés d'autres personnes, plongées elles-même dans leurs discussions. Je lance le sujet, et voilà que chacun notre tour, nous commençons à énumérer les différents exemples qui font que nous nous démarquons des autres, et que ce n'est pas facile de vivre tous les jours avec ce que nous avons pu subir.
J'avouerai que certaines parties ont été légèrement effacées de ma mémoire, mais je me rappelle avoir parlé de ma petite période de pseudo-scarification, de certaines remarques exprimant le désir de suicide que j'avais portées à ma mère, ainsi que la rédaction d'un blog pour essayer de contenir au possible ces émotions que je n'aime pas dévoiler en public, et qui arrivent parfois à me ronger.
Puis au final, j'ai éclaté.. il y a tellement longtemps que je n'avais pas chialé de la sorte. Tout ce que ne j'ai jamais aimé aborder, même avec les personnes les plus proches, tout ce que je gardais au fond de moi... c'est à ce moment que j'ai tout lâché, pour montrer aux gens que même si j'arrive à vivre avec le sourire et à leur donner une image rayonnante, je vis tout de même avec des pensées que je n'arrive pas à supporter. Malheureusement, je ne fais rien pour qu'ils puissent le voir, et c'est bien ça le problème..
Un paradoxe comme j'en ai l'habitude, mais qui cette fois s'avère être plus sérieux.
Je le répète, mais je n'ai pas vraiment aimé le fait que je ne sois pas dans mon état normal à ce moment-là.. enfin, ce qui est fait est fait, je ne vais pas regretter.
Même si je n'ai jamais aimé chialer en public, cette fois-ci était exceptionnelle, et libératrice..
Pour terminer, je tiens surtout à remercier les personnes qui auront été à mes côtés à ce moment... surtout une personne en particulier.
Remédions à ce problème.
Vendredi soir, j'ai pleuré.
Je regrette le contexte de ces pleurs, mais même dans cette situation, ils ne furent pas les mêmes que d'habitude.
Ce soir-là, nous étions à une soirée.
Pour ceux qui me connaissent, vous savez que je n'ai pas de mal à absorber une grosse quantité de cet ami qu'on appelle alcool. Le temps avance, les relations se font, les discussions commencent.
Voilà qu'au moment où l'effet de l'alcool atteint son paroxysme, nous venons à discuter avec une personne de la soirée qui s'était démarquée du lot.. non pas qu'elle soit forcément intéressante, mais parce qu'elle agissait de sorte qu'elle se fasse remarquer.
Pour ne pas mentir, je ne sais plus comment nous en sommes venus à discuter de ce sujet, mais je me rappelle avoir bien discuté là-dessus.. un peu trop même.
Ce monsieur avait fait une mauvaise blague comprenant le décès d'un membre de sa famille. N'ayant pas du tout aimé, et étant en connaissance de cause de la situation qu'il a évoquée, je me devais d'aller lui en parler.
Nous nous retrouvons donc dehors, entourés d'autres personnes, plongées elles-même dans leurs discussions. Je lance le sujet, et voilà que chacun notre tour, nous commençons à énumérer les différents exemples qui font que nous nous démarquons des autres, et que ce n'est pas facile de vivre tous les jours avec ce que nous avons pu subir.
J'avouerai que certaines parties ont été légèrement effacées de ma mémoire, mais je me rappelle avoir parlé de ma petite période de pseudo-scarification, de certaines remarques exprimant le désir de suicide que j'avais portées à ma mère, ainsi que la rédaction d'un blog pour essayer de contenir au possible ces émotions que je n'aime pas dévoiler en public, et qui arrivent parfois à me ronger.
Puis au final, j'ai éclaté.. il y a tellement longtemps que je n'avais pas chialé de la sorte. Tout ce que ne j'ai jamais aimé aborder, même avec les personnes les plus proches, tout ce que je gardais au fond de moi... c'est à ce moment que j'ai tout lâché, pour montrer aux gens que même si j'arrive à vivre avec le sourire et à leur donner une image rayonnante, je vis tout de même avec des pensées que je n'arrive pas à supporter. Malheureusement, je ne fais rien pour qu'ils puissent le voir, et c'est bien ça le problème..
Un paradoxe comme j'en ai l'habitude, mais qui cette fois s'avère être plus sérieux.
Je le répète, mais je n'ai pas vraiment aimé le fait que je ne sois pas dans mon état normal à ce moment-là.. enfin, ce qui est fait est fait, je ne vais pas regretter.
Même si je n'ai jamais aimé chialer en public, cette fois-ci était exceptionnelle, et libératrice..
Pour terminer, je tiens surtout à remercier les personnes qui auront été à mes côtés à ce moment... surtout une personne en particulier.
Libellés : Psycho, Social Life
4 Comments:
Il arrive un moment où, à force d'accumuler les désordres troublants, Le fait d'expier est seul à pouvoir nous maintenir debout.
Ca s'est passé à ce moment.
Entouré.
Mais peut-être n'est ce pas plus mal.
Peut-être que tu avais besoin, à ce moment là, qu'on voie.
Même si tu ne le montres pas, je sais...
Je ne te dirais jamais que je sais ce que tu ressens, que je comprends et tout les trucs bateaux qu'on dit dans ce cas là...
Mais je te dirais toujours que j'ai deux épaules étanches, et que mes bras, mes oreilles et mon coeur te sont ouverts quoiqu'il advienne de nous...
Je t'aime.
Slt Cidji, je souhaiterai que tu corriges les failles sur ton ftp, en cas contraire je le supprimerai... Merci d'avance
Ah ah, ouais c'est bien beau de me dire ça, mais lesquelles sont elles ?
J'suis pas forcément un spécialiste..
De plus, comment joindre une personne qui est.. comment dire.. injoignable ?
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