She shot me down...

Pour avoir un aperçu des derniers mois vécus dans ma petite vie, il faut se rendre ici : http://fr.netlog.com/Cidjis/blog/blogid=3122205#blog.

Aujourd'hui, je ne sais pas, je ne sais plus.

Dès lors que je me retrouve seul, confronté à moi-même ainsi qu'à une situation plus que floue, je suis perdu. Je passe d'un opposé à l'autre. J'adopte l'optimisme tout en sachant que si je me prends trop au jeu, la chute n'en sera que plus douloureuse si c'est le contraire qui l'emporte.
Chaque nuit, j'y pense. À chaque réveil, j'y pense. Je n'arrive pas à me détacher des supputations quant à notre relation et son futur. Que je sois dans la conscience la plus éveillée ou dans la partie obscure de mes pensées. Selon le moment, elles diffèrent. Je me réjouis la première seconde et m'attriste la suivante. J'imagine tous les scénarios, aussi réjouissants qu'horribles, et me retourne par conséquent la cervelle.

Je n'arrive même pas à écrire ce que je ressens. Je peux simplement dire que je suis perdu. Vraiment perdu.
Malheureusement, mes tentatives sont vaines. J'aimerais que tu les vois, mais apparemment, ce n'est pas le cas. Et ça me tue.

Rester con.

Apparemment, ne pas être con, ça ne paie pas.
Ce n'est pas grave, je préfère vivre dans la pauvreté.

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Transition

Qui aurait pu croîre qu'un jour, je serais amené à cette situation ?
Je m'étais toujours persuadé du contraire. Cette idée m'était inconcevable.
Mais, je me rends vite compte que rien n'est inconcevable. Ce que l'on nous inculque depuis notre enfance, on peut très vite l'affaiblir ou l'oublier lorsque l'on commence à décider par soi-même.

Un passage, une transition.

Voilà maintenant que je me détache de cette idéologie que je croyais toujours comme bonne, convenable. Ce désir de voyager est encore présent, mais il n'est plus aussi nécessaire que je le pensais pour que je puisse m'éloigner.
Le facteur déclencheur, celui qui semblait ne jamais pouvoir l'être, ce sont les études.

Je ne peux plus continuer à suivre des études pour l'honneur familial et combler le bonheur de ses membres. Certes, j'ai au départ choisi de suivre ce cursus, mais les évènements ont fait que j'y ai perdu tout mon intérêt.
Seulement, et je ne le cache pas, trop fainéant, je me suis contenté de refaire une année et suivre le raisonnement de la famille.
Petit à petit, je me suis rendu à l'évidence : ça ne me plait vraiment plus.

Les cours, les professeurs, l'administration, le système, la mentalité...
Non, décidément, je n'en peux plus.
Évidemment, dès que j'en parle à mon entourage, mes proches, tous me conseillent dans le sens dans lequel je veux aller ; il n'y a que ma famille qui est réticente à ce sujet. Même si je ne leur en ai pas encore parlé, je connais déjà les réactions et les réponses.
Du coup, je dois feinter mon allée en cours et ne rien foutre de la journée, si ce n'est voir mes amis ou lire des livres de Philosophie ; ce n'est pas forcément un mal, moi qui ai toujours eu l'habitude de ne jamais lire, je dois avouer que je regrette tout de même ce que je pensais de la lecture avant.
Mais je n'avance pas. Plus le temps passe et plus mes ambitions, mes projets restreignent.

Ce que je comptais faire, c'était arrêter les cours, travailler jusqu'aux grandes vacances prochaines et trouver durant cette période une nouvelle école. L'argent accumulé servira à payer les premiers mois d'un éventuel appartement sur Paris avec des amis, ce qui sera un gros avantage au niveau du transport.
La seule façon pour que les choses se déroulent ainsi, c'est d'exposer la situation. Chose qui semble simple dite ainsi, mais... il faut être dans mon cas pour comprendre que ce n'est clairement pas facile.

Alors j'attends, j'attends...
La situation sera clarifiée d'ici peu, en attendant qu'elle se fasse connaître par un autre moyen.
De toute façon, je ne pourrais pas reprendre les cours là où je suis actuellement. Il y a des conditions pour rester actif, et elles n'ont plus été respectées depuis un certain temps.

Mon attente se fait de lecture, d'apprentissage, de connaissance, de destruction physique...
Advienne que pourra.

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Freedom is waiting for me...

Déblayons la poussière qui s'est accumulée ici.
Écrivons.

Plus les jours avancent, plus je souhaite m'en aller.
Le matin, le midi, le soir ; je regarde à travers la fenêtre, et ce ciel me dit "Mais, pourquoi t'es là ? Qu'est-ce qui te retient ?"
Ce sentiment s'accroit de jour en jour, et je réfléchis sans cesse à ces deux questions. Tout abandonner, trahir la confiance de son entourage pour un coup de tête, ça demande réflexion. Cela dit, ne serait-ce pas un mal pour un bien ?
Lorsqu'on vit sous le contrôle de nos pulsions, c'est en général pour ne pas penser aux conséquences de nos différentes actions. On abandonne tout, oui. On réagit mal, selon la plupart des personnes qui nous fréquentent, mais ce sont des choses auxquelles on pense uniquement avant d'agir.
Une fois avoir agit, on oublie, on vit pleinement l'actuel moment. Peu importe ce que pensent les autres, de toute façon, ils ne pourront rien faire.
Et on revient. On pense que ce qui nous aurait fait rester sur place ressurgira dès notre retour. Mais non, on s'adapte à la situation, et l'expérience vécue nous fait prendre du recul.

Ce que je veux dire, c'est que je souhaite tailler la route dans un pays étranger. Ne prévenir personne, vivre ma vie comme je l'entends, découvrir une partie du monde seul (ou accompagné d'une personne, hein mon Toinou ?), et ne pas me soucier des conséquences sur autrui. C'est être insouciant, mais j'aime l'insouciance, la peur, l'inconnu.

Après tout, qu'est-ce qui me retient réellement ici ?
La famille ? Elle ne se limite qu'à mon frère et ma mère. Ils seraient clairement enragés de me savoir à l'étranger. Mon frère vit sa vie, donc je ne m'inquièterai pas trop pour son avenir. Ca me dérangerait plus du côté de ma mère, vu qu'elle se retrouverait seule par ma faute ; mais comme je l'ai dit, c'est un détail qu'il faut négliger si on veut prendre une initiative de la sorte. Très égoïste de ma part, mais une grande nouvelle dans la famille a le don de renouer les liens entre certains membres. Et encore... attachée à ses principes, elle préfèrera rester seule, ce qui n'est pas plus mal.

Les amis ? Les vrais amis manqueront, tout comme le petit bout de famille que j'ai, mais je ne suis pas le seul ami "indispensable". On peut très bien vivre sans moi, pendant une certaine période.

Les études ? Je n'ai rien payé. Je suis redoublant, et signifie que je ne pourrais revenir dans cette section. Mais, il existe beaucoup d'autres écoles. Et une expérience de la sorte ne peut être qu'avantageux.

L'argent ? Oui, il peut poser problème. Cependant, on peut travailler à l'étranger. C'est d'ailleurs ce à quoi on s'engage si on part longtemps.

Je désire réellement m'en aller, et comme je l'ai déjà dit, ce sentiment se renforce chaque jour. Tout à l'heure, je marchais sur quelques kilomètres entourés uniquement de champs. J'étais bien, avec mon sac sur le dos, à me dire que je pourrais être à l'autre bout du monde. Partir à l'arrache, ne se soucier de rien, vivre une super expérience, revenir en étant fier... c'est ce que je veux. Vu mon état d'esprit et ma philosophie bien étrange de la vie, je pense que c'est loin d'être irréalisable.

Mon ami... ton consentement positif, je pars sans hésitation.

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I hate myself...

J'ai toujours eu cette image négative de moi, que j'ai sans cesse cachée par mon côté jovial et heureux.
Ce n'est qu'une façon comme une autre de se voiler la face ; se dire qu'on vit heureux et qu'on rend les autres heureux.

Bien sûr que c'est le cas, encore faut-il voir de quelle façon.
On m'a toujours aimé pour ce que j'étais, pour ma simplicité de nature, ma personne, mon humour, et j'en suis content.
Mais à force, se complaire dans cette facilité à ce qu'on nous aime sans que l'on ne fasse vraiment grand chose ne nous permet pas de repousser nos limites.
On m'aime parce qu'on me demande d'exploiter des domaines dans lesquels j'excelle avec facilité, mais au-delà de ces derniers, que trouve-je ?

Rien. Un vide que j'essaie tant bien que mal de combler par mes réflexions ou des bases acquises auparavant. Malheureusement, il s'avère qu'à un certain moment, ces bases et réflexions se voient vite dépassées lorsque je passe à un autre niveau.
Ce vide entraîne ma chute, car aussi tenace que je peux être, je ne peux pas inventer des choses qui me sont inconnues ou auxquelles je suis incapable de répondre actuellement.

Je n'ai aucune qualité spécifique que les autres voudraient voir en moi, et pour tous ceux qui pourraient se sentir visés, vous m'en verrez sincèrement désolé. J'aimerais me différencier par un talent, une réelle qualité qui pourrait faire dire aux autres qu'il n'y a pas que ma personne qui est suffisante pour qu'on m'apprécie pleinement. Certaines personnes sont plus tolérantes ou gourmandes que d'autres, mais dans n'importe quel cas, j'aimerais répondre à leur attente comme il se doit. J'ai un esprit altruiste, mais je ne le montre jamais ; je pourrais donner tout ce que j'ai aux autres pour voir le bonheur se dessiner sur leur visage, et pourtant j'agis de telle sorte qu'on me prend pour un égocentrique.
C'est comme si on m'avait mis une putain de barrière devant moi, et que cherchant à la briser par tous les moyens, je n'y arrive jamais, installant une illusion jusqu'à ce que les autres me voient comme une personne n'essayant pas de passer outre cette dernière.

Il y a des choses dont je suis le seul à pouvoir dévoiler afin de les exposer au public, encore faut-il que je puisse.. les meilleures paroles du monde ne peuvent pas justifier pleinement ce qu'un acte pourrait justifier. Les gens ne peuvent se fier qu'à l'image que je véhicule de moi, et c'est tout à fait normal. Seulement, comment leur faire comprendre que tout n'est pas comme ce qu'ils croient sur moi, et leur prouver le contraire quand je suis dans une sorte d'incapacité momentanée ?

Désolé de ne pas pouvoir tous vous répondre comme vous l'attendez de moi ; je l'aimerais.. sincèrement.

Désolé.

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Cries in the Dark...

Deux mois de silence..
Remédions à ce problème.

Vendredi soir, j'ai pleuré.
Je regrette le contexte de ces pleurs, mais même dans cette situation, ils ne furent pas les mêmes que d'habitude.

Ce soir-là, nous étions à une soirée.
Pour ceux qui me connaissent, vous savez que je n'ai pas de mal à absorber une grosse quantité de cet ami qu'on appelle alcool. Le temps avance, les relations se font, les discussions commencent.

Voilà qu'au moment où l'effet de l'alcool atteint son paroxysme, nous venons à discuter avec une personne de la soirée qui s'était démarquée du lot.. non pas qu'elle soit forcément intéressante, mais parce qu'elle agissait de sorte qu'elle se fasse remarquer.

Pour ne pas mentir, je ne sais plus comment nous en sommes venus à discuter de ce sujet, mais je me rappelle avoir bien discuté là-dessus.. un peu trop même.

Ce monsieur avait fait une mauvaise blague comprenant le décès d'un membre de sa famille. N'ayant pas du tout aimé, et étant en connaissance de cause de la situation qu'il a évoquée, je me devais d'aller lui en parler.

Nous nous retrouvons donc dehors, entourés d'autres personnes, plongées elles-même dans leurs discussions. Je lance le sujet, et voilà que chacun notre tour, nous commençons à énumérer les différents exemples qui font que nous nous démarquons des autres, et que ce n'est pas facile de vivre tous les jours avec ce que nous avons pu subir.

J'avouerai que certaines parties ont été légèrement effacées de ma mémoire, mais je me rappelle avoir parlé de ma petite période de pseudo-scarification, de certaines remarques exprimant le désir de suicide que j'avais portées à ma mère, ainsi que la rédaction d'un blog pour essayer de contenir au possible ces émotions que je n'aime pas dévoiler en public, et qui arrivent parfois à me ronger.

Puis au final, j'ai éclaté.. il y a tellement longtemps que je n'avais pas chialé de la sorte. Tout ce que ne j'ai jamais aimé aborder, même avec les personnes les plus proches, tout ce que je gardais au fond de moi... c'est à ce moment que j'ai tout lâché, pour montrer aux gens que même si j'arrive à vivre avec le sourire et à leur donner une image rayonnante, je vis tout de même avec des pensées que je n'arrive pas à supporter. Malheureusement, je ne fais rien pour qu'ils puissent le voir, et c'est bien ça le problème..

Un paradoxe comme j'en ai l'habitude, mais qui cette fois s'avère être plus sérieux.

Je le répète, mais je n'ai pas vraiment aimé le fait que je ne sois pas dans mon état normal à ce moment-là.. enfin, ce qui est fait est fait, je ne vais pas regretter.
Même si je n'ai jamais aimé chialer en public, cette fois-ci était exceptionnelle, et libératrice..

Pour terminer, je tiens surtout à remercier les personnes qui auront été à mes côtés à ce moment... surtout une personne en particulier.

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It's been a while...

Deux mois maintenant que je n'ai rien écrit.
Si j'écris maintenant, c'est parce que l'inactivité est au rendez-vous, et qu'en ce moment je passe par une phase d'inconstance mentale.

J'aime cette petite expression, ça fait penser que j'suis légèrement détraqué. Vu la gueule que je tire en ce moment, ça n'étonnerait pas certaines personnes.

Bref, quoi qu'il en soit, j'ai l'impression d'être frustré en ce moment. Je trouve déjà bien le fait de m'en rendre compte, mais la chose à laquelle je ne peux pas répondre, c'est pourquoi..
Un jour ça va, le lendemain c'est l'inverse. Je suis heureux, et d'un coup je suis sur les nerfs ; je pense différemment. Et ce n'est pas forcément d'un jour à l'autre, mais d'une heure à l'autre.

En fait, je suis comme ça depuis un certain temps, mais vers le début on ne remarque ce genre de choses.. c'est seulement après redondance des évènements qu'on se dit qu'il se passe quelque chose.

Depuis début février, j'suis inscrit sur un site de pseudo-rencontre-pour-jeunes : Here. Allez, cliquez bande de cons, ça me fera des visites. Quoi que vous en disiez, je vous emmerde. Le conditionnement me saoule de plus en plus. Si je dois être considéré comme un con qui commence à s'inscrire sur des sites de la sorte, alors je serai un con.

Sinon, pour en revenir au site, j'ai rencontré une certaine personne. Je l'aurais jamais cru, mais j'ai longuement parlé avec elle, je l'ai même rencontrée, et à plusieurs reprises. C'est super tout ça. Seulement, c'est depuis que je lui parle que j'ai légèrement... changé. Enfin, changer est un bien grand mot, mais je vois les choses d'une façon différente.

En ce moment, j'ai envie de lire, d'écrire, de cogner les gens, de chialer sur mon lit, de voyager, de travailler pour les cours... Il se passe beaucoup de choses dans ma cervelle. Comme dit précédemment, je suis heureux, malheureux, déprimé, motivé, abattu ou en pleine forme... bon, pas besoin de continuer la liste parce que vous m'aurez compris.

Ce que je ne veux pas, c'est passer pour un amoureux transit passant par des phases amoureuses le mettant dans tous ses états, et envoyant des lettres d'amour enflammées à sa dulcinée. Un petit cliché comme je ne les aime pas, et qui pourrait bien être le cas finalement chez moi (à part les lettres, sinon là je suis vraiment un con). Ca voudrait dire que je ne m'aime pas durant ces petites phases ?
Si ça se trouve, ouais...

Un de mes désirs serait de me faire consulter par un psychologue, et qu'il me dise que je suis cérébralement complexe ; être considéré comme une énigme à ses yeux. Putain, j'ai envie d'écrire sur ma gueule, ma vie... un vrai roman autobiographique qui me décrirait dans les moindres détails, et raconterait tout ce que j'ai à dire sur moi. Tout ce que je n'ai jamais dit sera désormais lisible, et les gens verront que sous cette apparence du petit blagueur souriant se cache quelqu'un qui cache bien des choses..

Tellement de choses à dire en ce moment, mais j'arrive pas à tout extérioriser.
Allez, on va parler un peu de ma vie sociale et cette routine à la con.

J'ai pas eu mon premier semestre, en ce moment j'ai des notes correctes. Bien sûr, les études n'existeraient pas s'il n'y avait pas de matières casse-couilles, alors je commence à sécher l'algorithme. Parce que oui, je suis une merde totale qui doit manquer de logique, mais je préfère aller voir mes potes plutôt que rester devant un écran à lire des données que je ne sais même pas interpréter. Je remercie d'ailleurs ceux qui veulent bien signer à ma place, ou alors le prof qui nous autorise à signer et à nous casser pour ne pas être considérés comme absents.

La communication m'intéresse de plus en plus, et c'est un domaine que je commence à vouloir exploiter, contrairement à tout ce qui touche au multimédia et devient tellement courant aujourd'hui. Et c'est d'ailleurs pour ça que j'ai, pour la première fois de ma vie, envie de lire un bouquin parlant de la sémiotique des images.

Voilà au niveau des cours. Sinon, j'ai envie de bousiller tout le monde le matin quand j'suis à la gare. Leur gueule de merde, leur démarche lente me faisant chier, le fait qu'ils me coupent la route... Putain, un jour je vais bien en écraser un contre le bitume.

Toute cette colère s'est bien fait ressentir lors de la dernière soirée, la semaine dernière. Ceux qui étaient présents pourront en témoigner, mais j'envoyais chier tout le monde et j'avais envie de casser la gueule à tout le monde. Besoin de calmants ?

Mes amis me diront que je m'en fais pour rien, et que je n'ai pas de raisons de me mettre dans ses états. Le pire, c'est qu'ils ont raison, mais comme je suis un connard borné et que je dois être maso au point d'aimer me mettre dans des situations que je déteste, alors je continue à me plaindre et à me trouver tous les problèmes possibles pour montrer que je suis psychédélique.

Je n'aime pas me voir comme ça, mais en même temps ça me permet de me libérer. Je le répète, mais c'est seulement lorsque tout va mal que nous pouvons réellement voir ce que nous pensons. Je suis paradoxal à 800 %, j'en suis conscient, mais ça ne me gène pas. Au contraire, j'aime ça.

Autre chose, et que je répète souvent aussi : j'voudrais bien avoir ma petite heure de gloire sur une scène, et faire un putain de solo de batterie qui me permettrait de faire ce dont j'ai envie, avec une foule qui m'acclame. J'ai un désir permanent de me défouler, et il faudrait que j'arrive à le satisfaire de n'importe quelle manière qui me convienne.

Allez, encore un article qui mélange beaucoup trop de choses, mais ça me fait plaisir.

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Conspiration ? Paranoïa ?

Pourquoi pas ?


La semaine dernière, lors d'un cours de communication, nous en sommes venus aux armes et à la technologie en général (ce n'était pas très en rapport avec le sujet étudié qui était la distance moyenne pour une bonne discussion selon les cultures.. pas très en rapport en effet).
Au bout d'un moment, je me suis mis à réfléchir à certaines choses, et je suis parti dans un brain-trip personnel.

Dès qu'on approfondissait le sujet des armes dans notre monde, j'ai pensé à l'évolution de ces dernières. La Seconde Guerre Mondiale m'a semblé être le départ idéal pour la course à l'évolution. Enfin, je sais que les armes existent depuis des milliers d'années, mais je considère ce dernier siècle comme l'apogée des technologies. Et je trouve ça plutôt étrange que tout se déroule d'une façon si... parfaite. J'entends par là l'évolution, et non pas les évènements qui se déroulent aux alentours.
Cette guerre aurait-elle été le début d'une course à l'armement, poussant tous les pays à inventer une arme encore plus puissante que la dernière sur le marché ? C'est assez difficile tout de même de retranscrire tout ce que je pensais en l'espace d'un instant sur un article.
Par exemple : Hitler a fait parler de lui pendant des années avant que la Guerre ne soit déclarée ; pourquoi donc a-t-il eu une aussi grande liberté pour monter en grade durant tout ce temps ? Aurait-il été poussé par certaines forces afin de créer cette guerre, ce qui aura été un prétexte pour créer de nouveaux armements ?
Lorsque j'y pense, cela pourrait être vrai. Après tout, notre principale source d'informations reste les médias, et tout le monde sait qu'ils ont le contrôle sur l'information. Pour n'importe quel évènement on a pu nous cacher la vérité. Pourquoi pas pour cette Guerre ?
Aujourd'hui, n'importe quel pays, aussi pauvre qu'il soit, possède des armes. L'arme est omniprésente, et je pense que c'est un signe de ce que j'essaye de montrer. On savait depuis longtemps que l'arme serait le futur, et on a fait en sorte de propulser cet objet de n'importe quelle façon.

Bon, il y a déjà ça. Ensuite, je pensais aussi à cet homme qui a été "le premier à marcher sur la lune". Plus j'y pense, et plus je me dis que finalement, personne n'y est allé sur celle-ci. L'évènement s'est déroulé en 1969 ; pourquoi aucune opération de la sorte n'a été réitérée ? Après tout, ce n'est pas l'argent qui manque, puisqu'on trouve bien le moyen de réunir une somme d'argent colossale pour envoyer des soldats massacrer et se faire massacrer. Un amas de preuves qui fait qu'à force le doute s'installe. Encore un coup médiatique ? La période était la bonne pour montrer à tous qu'on avait la plus grosse. Bon, ceci était encore un exemple.
Rajoutons à ceci le 11 Septembre. Certains était déjà au courant de l'opération qui allait se passer. Est-ce qu'une alliance aurait eu lieu entre les Américains et les Arabes ? Chose qui peut paraître improbable, mais après tout, si on prend en compte le fait qu'on subit la manipulation des médias et des gouvernements depuis des décennies, cela semblerait plus.. probable.

Des zones secrètes existeraient-elles dans chacun des pays de la Terre ? Serait-ce là que tout décision cruciale serait prise ?
Sincèrement, je pense que oui. Chaque président serait au courant de activités qui s'y déroulent. Les voyages et congrès ne seraient en fait que des prétextes pour aller faire un tour là-bas, mais comment est-ce possible qu'on puisse voir un président serrer des mains et donner des sourires hypocrites à d'autres hommes importants ?
Le clonage. Ca semble toujours con, mais on nous parle du clonage depuis quelques années. Finalement, on aurait réussi à cloner les personnes, et les premiers à avoir expérimenté cette expérience seraient les grandes personnes, pour pouvoir dissimuler la vérité plus facilement lors d'un voyage. Et toutes les personnes qui affirment avoir vu quelqu'un qui leur est proche.. on les prend toutes pour des folles, mais en fin de compte elles disent la vérité.
Les "considérés fous" seraient en fait les plus conscients et lucides sur ce qui se déroule dans notre monde, et nous autres humaines "normaux", nous ne faisons que subir l'extrême pouvoir que détiennent les gouvernements et médias.

Mais si je suis conscient de ce qui se trame, alors serais-je moi aussi.. un "fou" ?
Je dois vous laisser, mais il faut que j'aille prendre mes cachets.

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