Freedom is waiting for me...
Déblayons la poussière qui s'est accumulée ici.
Écrivons.
Plus les jours avancent, plus je souhaite m'en aller.
Le matin, le midi, le soir ; je regarde à travers la fenêtre, et ce ciel me dit "Mais, pourquoi t'es là ? Qu'est-ce qui te retient ?"
Ce sentiment s'accroit de jour en jour, et je réfléchis sans cesse à ces deux questions. Tout abandonner, trahir la confiance de son entourage pour un coup de tête, ça demande réflexion. Cela dit, ne serait-ce pas un mal pour un bien ?
Lorsqu'on vit sous le contrôle de nos pulsions, c'est en général pour ne pas penser aux conséquences de nos différentes actions. On abandonne tout, oui. On réagit mal, selon la plupart des personnes qui nous fréquentent, mais ce sont des choses auxquelles on pense uniquement avant d'agir.
Une fois avoir agit, on oublie, on vit pleinement l'actuel moment. Peu importe ce que pensent les autres, de toute façon, ils ne pourront rien faire.
Et on revient. On pense que ce qui nous aurait fait rester sur place ressurgira dès notre retour. Mais non, on s'adapte à la situation, et l'expérience vécue nous fait prendre du recul.
Ce que je veux dire, c'est que je souhaite tailler la route dans un pays étranger. Ne prévenir personne, vivre ma vie comme je l'entends, découvrir une partie du monde seul (ou accompagné d'une personne, hein mon Toinou ?), et ne pas me soucier des conséquences sur autrui. C'est être insouciant, mais j'aime l'insouciance, la peur, l'inconnu.
Après tout, qu'est-ce qui me retient réellement ici ?
La famille ? Elle ne se limite qu'à mon frère et ma mère. Ils seraient clairement enragés de me savoir à l'étranger. Mon frère vit sa vie, donc je ne m'inquièterai pas trop pour son avenir. Ca me dérangerait plus du côté de ma mère, vu qu'elle se retrouverait seule par ma faute ; mais comme je l'ai dit, c'est un détail qu'il faut négliger si on veut prendre une initiative de la sorte. Très égoïste de ma part, mais une grande nouvelle dans la famille a le don de renouer les liens entre certains membres. Et encore... attachée à ses principes, elle préfèrera rester seule, ce qui n'est pas plus mal.
Les amis ? Les vrais amis manqueront, tout comme le petit bout de famille que j'ai, mais je ne suis pas le seul ami "indispensable". On peut très bien vivre sans moi, pendant une certaine période.
Les études ? Je n'ai rien payé. Je suis redoublant, et signifie que je ne pourrais revenir dans cette section. Mais, il existe beaucoup d'autres écoles. Et une expérience de la sorte ne peut être qu'avantageux.
L'argent ? Oui, il peut poser problème. Cependant, on peut travailler à l'étranger. C'est d'ailleurs ce à quoi on s'engage si on part longtemps.
Je désire réellement m'en aller, et comme je l'ai déjà dit, ce sentiment se renforce chaque jour. Tout à l'heure, je marchais sur quelques kilomètres entourés uniquement de champs. J'étais bien, avec mon sac sur le dos, à me dire que je pourrais être à l'autre bout du monde. Partir à l'arrache, ne se soucier de rien, vivre une super expérience, revenir en étant fier... c'est ce que je veux. Vu mon état d'esprit et ma philosophie bien étrange de la vie, je pense que c'est loin d'être irréalisable.
Mon ami... ton consentement positif, je pars sans hésitation.
Écrivons.
Plus les jours avancent, plus je souhaite m'en aller.
Le matin, le midi, le soir ; je regarde à travers la fenêtre, et ce ciel me dit "Mais, pourquoi t'es là ? Qu'est-ce qui te retient ?"
Ce sentiment s'accroit de jour en jour, et je réfléchis sans cesse à ces deux questions. Tout abandonner, trahir la confiance de son entourage pour un coup de tête, ça demande réflexion. Cela dit, ne serait-ce pas un mal pour un bien ?
Lorsqu'on vit sous le contrôle de nos pulsions, c'est en général pour ne pas penser aux conséquences de nos différentes actions. On abandonne tout, oui. On réagit mal, selon la plupart des personnes qui nous fréquentent, mais ce sont des choses auxquelles on pense uniquement avant d'agir.
Une fois avoir agit, on oublie, on vit pleinement l'actuel moment. Peu importe ce que pensent les autres, de toute façon, ils ne pourront rien faire.
Et on revient. On pense que ce qui nous aurait fait rester sur place ressurgira dès notre retour. Mais non, on s'adapte à la situation, et l'expérience vécue nous fait prendre du recul.
Ce que je veux dire, c'est que je souhaite tailler la route dans un pays étranger. Ne prévenir personne, vivre ma vie comme je l'entends, découvrir une partie du monde seul (ou accompagné d'une personne, hein mon Toinou ?), et ne pas me soucier des conséquences sur autrui. C'est être insouciant, mais j'aime l'insouciance, la peur, l'inconnu.
Après tout, qu'est-ce qui me retient réellement ici ?
La famille ? Elle ne se limite qu'à mon frère et ma mère. Ils seraient clairement enragés de me savoir à l'étranger. Mon frère vit sa vie, donc je ne m'inquièterai pas trop pour son avenir. Ca me dérangerait plus du côté de ma mère, vu qu'elle se retrouverait seule par ma faute ; mais comme je l'ai dit, c'est un détail qu'il faut négliger si on veut prendre une initiative de la sorte. Très égoïste de ma part, mais une grande nouvelle dans la famille a le don de renouer les liens entre certains membres. Et encore... attachée à ses principes, elle préfèrera rester seule, ce qui n'est pas plus mal.
Les amis ? Les vrais amis manqueront, tout comme le petit bout de famille que j'ai, mais je ne suis pas le seul ami "indispensable". On peut très bien vivre sans moi, pendant une certaine période.
Les études ? Je n'ai rien payé. Je suis redoublant, et signifie que je ne pourrais revenir dans cette section. Mais, il existe beaucoup d'autres écoles. Et une expérience de la sorte ne peut être qu'avantageux.
L'argent ? Oui, il peut poser problème. Cependant, on peut travailler à l'étranger. C'est d'ailleurs ce à quoi on s'engage si on part longtemps.
Je désire réellement m'en aller, et comme je l'ai déjà dit, ce sentiment se renforce chaque jour. Tout à l'heure, je marchais sur quelques kilomètres entourés uniquement de champs. J'étais bien, avec mon sac sur le dos, à me dire que je pourrais être à l'autre bout du monde. Partir à l'arrache, ne se soucier de rien, vivre une super expérience, revenir en étant fier... c'est ce que je veux. Vu mon état d'esprit et ma philosophie bien étrange de la vie, je pense que c'est loin d'être irréalisable.
Mon ami... ton consentement positif, je pars sans hésitation.
Libellés : Holidays, Social Life